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Hajj et `Oumrah : Les évocations recommandées pendant At-tawāf les Tours Rituels autour de la Ka`bah à la Mecque

Il est recommandé de dire lors de la salutation de la Pierre Noire en premier et lors du commencement des tours rituels également : Bismi l-Lâh, Allāhou ’akbar, Allāhoumma ’Imânan bika wa taṣdiqan bi kitâbika, wa wafâ’an bi `ahdika, wa t-tibâ`an li sounnati nabiyyika Mouḥammad ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam) ce qui signifie: « Par le nom de Allāh, Allāh est plus Vénéré que toute chose, Ô Allāh par acte de foi en Toi, en croyant à la véracité de Ton Livre, en respectant l’engagement que nous avons pris pour Toi et en suivant la tradition de Ton Prophète Mouḥammad ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam ».

Hajj : Jour de at-tarwiyah: huitième jour de dhou l-Ḥijjah

Lorsque les pèlerins sortent le jour de at-tarwiyah pour Minâ, ce qui est recommandé c’est d’y accomplir aḍh-ḍhouhr, al-`aṣr, al-maghrib et al-`ichâ’, d’y passer la nuit et d’y accomplir la prière de aṣ-ṣoubḥ. Tout cela est recommandé mais ne fait pas partie d’un rite obligatoire. Ainsi, s’ils ne passent pas la nuit ou s’ils n’y entrent pas, ils ne se chargent de rien, mais ils ont raté ce qui est recommandé.

Hajj : Le lancer de Pierres aux trois Jamarah (bassins à Minā)

Le temps du lancer, du rasage du crâne et des tours rituels commence à la moitié de la nuit de Al-`îd et le temps du lancer dure jusqu’au coucher du soleil du dernier des jours de at-tachriq. Quant au rasage du crâne et aux tours rituels, leur temps n’a pas une fin particulière, ce temps demeure tant qu’il est vivant même si cela dure de nombreuses années. Quant au temps préférable pour ces actes, il commence par Jamratou l-`âqabah selon l’ordre qui est préférable. Et ce qui est recommandé, c’est d’y lancer après le lever du soleil, le soleil s’étant élevé de la hauteur d’une lance.

Hajj : La Station de `Arafah

Les pèlerins se dirigent ensuite à `Arafah qui est une montagne connue là-bas. Certains savants ont approuvé de dire pendant la route : (Allāhoumma ’ilayka tawajjahtou wa liwajhika l-karîmi ’aradt, faj`al dhanbî maghfôurâ wa Ḥajjî mabrôurâ wa rHamnî wa lâ toukhayyibnî ’innaka `alâ koulli chay’in qadîr ) ce qui signifie : « Ô Allāh je me fie à Toi, et c’est la recherche de Ton agrément qui est mon but ; fais que mon péché soit pardonné, mon pèlerinage doté de Ta grande récompense (mabrôur). Accorde-moi Ta miséricorde et fais que je ne sois pas déçu ; certes Tu es sur toute chose tout puissant ». Il multiplie ensuite at-talbiyah.

Hajj : L’arrivée à Mouzdalifah

Que celui qui est présent à Mouzdalifah tâche de veiller cette nuit en acte d’adoration, en prières, en récitation, en évocation, en invocations et en supplications. Qu’il se prépare ensuite après la moitié de la nuit et prenne de Mouzdalifah les pierres pour les jamarat notamment pour Jamratou l-`âqabah le jour de Al-`îd. Ce sont sept pierres. Qu’il prenne ses précautions en prenant plus, peut-être en perdra-t-il certaines et certains de nos compagnons ont dit : il en prend de Mouzdalifah pour les jamarât et pour les jours de at-tachriq également qui font soixante trois pierres. Les pierres sont plus petites, de la taille des pierres qu’on lance avec les doigts, ni plus grandes, ni plus petites, à savoir inférieur à celle d’une phalange, environ du grain de Al-Bâqillâ’. Certains ont dit de la taille d’un noyau. Il est déconseillé que cela dépasse cette taille. Il est déconseillé de casser la roche à cette fin sauf pour une raison mais il les ramasse petites.

Transaction: le contrat de mariage en Islam

Parmi les conditions de validité du contrat de mariage: la formule, comme si le tuteur dit ce qui signifie: "je te marie Une telle"(zawwajtouka foulānah) et que l’époux réponde ce qui signifie : "j’accepte son mariage" (qabiltou ziwājahā). Deux témoins musulmans libres, de sexe masculin, pubères, sains d’esprits, juste. Que l’époux soit musulman pour la musulmane.

Péchés du Coeur: Manquer de considération envers ce que Allāh a honoré

Parmi les péchés du cœur, il y a le manque de considération envers ce que Allāh a honoré et rabaisser ce que Allāh a rendu important en tant qu’actes d’obéissance comme ce que certains disent: "à quoi te sert la prière ?" ou ils disent : "la prière, ça te nourrit et ça t’habille ?!". Et ceci est de la mécréance qui fait sortir de l’Islam.

Les ḥadīth non explicites

Al-Boukhāriyy a rapporté que le Messager de Allāh ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam a dit: سَبْعَةٌ يُظِلُّهُمُ اللَّهُ فِي ظِلِّهِ يَوْمَ لاَ ظِلَّ إِلاَّ ظِلُّهُ (sab`atoun youḍhil-louhoumou l-Lâhou fī ḍhil-lih yawma lâ ḍhilla ‘il-lâ ḍhillouh) ce qui signifie : « Il y a sept catégories de personnes que Allāh protègera à l’ombre du Trône, le Jour où il n’y aura pas d’autres ombres que l’ombre du Trône ». Dans ce ḥadīth, il s’agit d’une indication que l’ombre en question correspond à l’ombre d’une chose honorée (at-tachrîf) selon le jugement de Allāh, et il s’agit du Trône. Ce ḥadīth ne signifie donc pas comme le prétendent faussement les moujassimah [ceux qui attribuent à Allāh le corps], que ces sept catégories de personnes seront sous l’ombre de Dieu au Jour du Jugement. Ces égarés ont clairement affichés leur croyance anthropomorphiste en donnant à ce ḥadīth une telle signification.

Les choses qui annulent l’ablution - wouḍoū’ - selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, les choses qui annulent l’ablution - le wouḍoū’ - sont au nombre de quinze. Il s’agit du ḥadath qui est tout ce qui annule par lui-même, des causes du ḥadath, et de ce qui amène à l’état de ḥadath. Quant au ḥadath, c’est ce qui sort de manière habituelle des deux orifices inférieurs antérieur et postérieur...

Ce qui devient interdit lorsque le Woudou’ - ablution - est annulé selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, la prière même s’il s’agit d’une prière funéraire le Tawaf les tours rituels autour de la Ka`bah, de toucher le Mous-haf ou sa couverture par la main, ou encore par l’intermédiaire d’un bâton, ou ce qui est de cet ordre, exception faite pour l’enseignant qui l’enseigne ou pour l’étudiant qui l’apprend ; le jugement est le même pour la partie ou section du qour’ān et l’ardoise contenant le qour’ān.

Ce qui devient interdit à celui qui est en état de grand ḥadath selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, il devient interdit à la personne qui est en état de grand ḥadath suite à un rapport sexuel ou une émission de maniyy (jounoub) six choses, parmi elles: la prière, la prosternation de la lecture du qour’ān, le tawaf, par l’unanimité. Il lui également interdit de toucher le Mousḥaf, même avec un bâton, et même s’il s’agit d’un enseignant ou d’un apprenant ainsi que le port du Mous-ḥaf selon l’explication détaillée citée plus haut, l’entrée dans la mosquée même si ce n’est pas pour y rester, exception faite pour le voyageur passant, qui se retrouve en état de grand ḥadath et qui ne peut accéder à l’eau qu’en entrant dans la mosquée, il est permis à celui-ci d’y entrer. De même lui est interdite la retraite spirituelle dans la mosquée et la récitation du Qour’ān par la langue.