Hajj : La Station de `Arafah
بِسْمِ اللهِ الرَّحْمَنِ الرَّحِيم
La louange est à Dieu le Créateur du monde Celui Qui existe sans début, sans fin, sans endroit, sans comment et ne dépend pas du temps, absolument rien ne ressemble à Allāh et Il est Celui Qui entend et Qui voit, quoi que tu puisses imaginer Dieu en est différent, et que l'élévation en degré et la préservation de sa communauté de ce qu'il craint pour elle soient accordées à notre maître Mouḥammad Al-'Amîn, l'Honnête, celui qui a appelé à la religion de vérité, l'Islam la religion de tous les Prophètes du premier 'Adam `alayhi s-salâm au dernier Mouḥammad ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam.
La Station de `Arafah
Les pèlerins se dirigent ensuite à `Arafah qui est une montagne connue là-bas. Certains savants ont approuvé de dire pendant la route :
« اللهمَّ إليكَ توجهتُ ولوجهك الكريمِ أردتُ، فاجعلْ ذنبي مغفورًا وحجي مبرورًا وارحمني ولا تخيبْني إنك على كل شىء قدير »
(Allāhoumma 'ilayka tawajjahtou wa liwajhika l-karîmi 'aradt, faj`al dhanbî maghfôurâ wa Ḥajjî mabrôurâ wa rHamnî wa lâ toukhayyibnî 'innaka `alâ koulli chay'in qadîr )
ce qui signifie : « Ô Allāh je me fie à Toi, et c'est la recherche de Ton agrément qui est mon but ; fais que mon péché soit pardonné, mon pèlerinage doté de Ta grande récompense (mabrôur). Accorde-moi Ta miséricorde et fais que je ne sois pas déçu ; certes Tu es sur toute chose tout puissant ». Il multiplie ensuite at-talbiyah.
Al-Mâwardiyy a dit : « Il est recommandé de prendre le chemin de Dabb et de revenir par le chemin de Al-Ma'zamîn pour prendre exemple en cela sur le Messager de Allāh, ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam, et puis qu'il prenne un chemin autre que celui qu'il a pris pour l'aller tout comme on fait cela pour Al-`îd ».
Sache que `Arafât ne fait pas partie du Harâm - l'enceinte sacrée -. La limite du Haram dans cette direction, ce sont les deux signes qui sont mis à la fin de Al-Ma'zamîn et qui sont apparents.
La station à `Arafah et ses nombreuses règles de comportements
Il y a le ghousl effectué à Namirah pour la station, ne rentrer à `Arafât qu'après que le soleil a quitté sa position du zénith et l'accomplissement des deux prières.
Il y a également tâcher de se tenir dans les lieux où s'est tenu le Messager de Allāh ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam près des rochers. Quant à ce qui s'est propagé chez les gens du communs, qu'il faut tâcher de se tenir sur le Mont de la Miséricorde (Jabalou r-Raḥmah) qui se trouve au milieu de la terre de `Arafât et leur préférence de ce lieu par rapport aux autres lieux de la terre de `Arafât au point que certains et même beaucoup par leur ignorance se donnent l'illusion que la station à `Arafât n'est valable qu'à cet endroit là, ceci est faux et c'est contraire à la Sounnah.
Le mieux c'est de se tenir face à la Qiblah en état de purification et en voilant sa zone de pudeur. Mais s'il se tient en état de Hadath ou qu'il est jounoub ou en état de menstrues, ou en ayant sur lui une najâçah ou sa zone de pudeur dévoilée, sa station reste valable, mais il a raté ce qui est le mieux.
Il est recommandé de ne pas faire le jeûne et d'avoir son cœur présent, libre des choses qui distraient des invocations. Et il convient de se décharger de ses affaires avant que le soleil quitte le zénith pour se consacrer entièrement et se libérer par son apparence et son for intérieur de tout ce qui peut le détourner. Il convient de ne pas se tenir sur le chemin des caravanes ou autres pour ne pas les gêner et pour ne pas être soi-même gêné.
Il est recommandé de faire beaucoup d'invocation de tahlîl - la parole ( Lâ 'ilâha 'il-la l-Lâh ) -, de réciter le Qour'ân. Ceci est la tâche à faire dans ces lieux bénis et il ne manque pas à cela, car c'est la plus grande part du pèlerinage, son lieu le plus important et c'est cela qui en est requis. Il fait beaucoup d'évocations et d'invocations debout ou assis et il lève les mains dans ses invocations sans dépasser la tête. Il n'a pas à se charger à faire des invocations rimées, mais il n'y a pas de mal à faire des invocations rimées s'il l'apprend par cœur ou s'il le dit sans difficulté ou réflexion, mais que cela sorte de sa bouche sans qu'il soit préoccupé à lui donner les règles de grammaire correctes ou autre chose qui détournerait son cœur.
Il est recommandé de baisser la voix dans ses invocations et il est déconseillé de pencher à l'excès pour élever sa voix.
Il convient aussi de supplier dans ses invocations, de s'humilier et de montrer sa faiblesse, son besoin et son humiliation. Il insiste dans ses invocations sans pour autant craindre le retard pour être exaucé, mais avec le grand espoir d'être exaucé. Il répète chaque invocation trois fois. Il commence par le taḥmîd - la louange à Allāh -, le tamjîd de Allāh ta`ālā - la glorification -, le tasbīḥ - la parole soubḥâna l-Lâh -, l'invocation en faveur du Messager de Allāh, ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam et la préservation pour sa communauté. Et il conclue les invocations par pareil à cela. Qu'il soit aussi en état de purification, éloigné des choses interdites, des choses douteuses dans sa nourriture, sa boisson, ses habits, sa mouture et toute autre que cela qu'il porte avec lui, car cela compte parmi les règles de comportement de toute invocations. Puis qu'il conclue ses invocations par 'Amîn.
Qu'il fasse beaucoup de tasbīḥ, de taḥmîd, de takbîr, de tahlîl et le meilleur de cela, c'est ce qu'a rapporté At-Tirmîdhiyy et d'autres, du Messager de Allāh, ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam qu'il a dit :
« أفضل الدعاء يوم عرفة وأفضل ما قلت أنا والنبيون من قبلي لا إله إلا الله وحده لا شريك له، له الملك وله الحمد وهو على كل شيءٍ قدير »
ce qui signifie: « Les meilleurs des invocations sont celles du jour de `Arafah et la meilleure des paroles que j'aie dite ainsi que les prophètes qui m'ont précédé est : " lâ 'ilâha il-la l-Lâh waḥdahou lâ charîka lah, lahou l-moulkou wa lahou l-ḥamdou wa houwa `alâ koulli chay'in qadîr" Il n'est de dieu que Allāh, Lui seul, Il n'a pas d'associé, à Lui la souveraineté et à Lui la louange et Il est sur toute chose tout puissant ».
Dans le livre de At-Tirmîdhiyy, il est rapporté que `Aliyy, que Allāh l'agrée a dit : « La plupart des invocations qu'a faites le Prophète ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam le jour de `Arafah lors de sa station c'est :
اللهمَّ لكَ الحمدُ كالذي تَقُولُ وخيرًا مما نَقُول، اللهمَّ لكَ صلاتي ونُسكي ومحيايَ ومماتي، وإليكَ مآبي
ولكَ ربي تُراثي، اللهمَّ إني أعوذُ بك من عذابِ القبرِ ووسوسةِ الصدرِ وَشَتَاتِ الأَمر
اللهمَّ إني أعوذ بك من شرّ ما تجىء به الريح
( Allāhoumma laka l-ḥamdou kalladhî taqôulou wa khayran mimmâ naqôul, Allāhoumma laka ṣalâtî wa nouçouki wa maḥyâya wa mamâtî, wa 'ilayka ma'âbî wa laka rabbi tourâthî, Allāhoumma 'inni 'a`ôudhou bika min `adhâbi l-qabri wa waswaçati ṣ-ṣadri wa chatâti l-'amr, Allāhoumma 'inni 'a`ôudhou bika min charri mâ tajî'ou bihi r-rîḥ )
ce qui signifie: « Ô Allāh à Toi la Louange tout comme Tu dis et mieux que ce que nous disons, Ô Allāh, à Toi ma prière, mes actes rituels, ma vie et ma mort, à Ton Jugement je retourne le jour dernier. Ô Allāh je demande la préservation par Toi du châtiment de la tombe, des suggestions dans le cœur et de la dispersion de mon état et de mes affaires. Ô Allāh je demande la préservation du mal qui est porté par le vent ».
Il est aussi recommandé de multiplier la talbiyah en élevant sa voix et de faire des invocations en faveur du Messager de Allāh ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam. Il convient de faire ces différentes sortes d'invocations, ainsi, tantôt il dit ( Lâ 'ilâha 'il-la l-Lâh ), tantôt il dit ( Allāhou 'akbar ), tantôt il fait la talbiyah, tantôt il accomplit l'invocation en faveur du Prophète ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam et tantôt il demande le pardon. Il invoque seul ou en groupe. Qu'il fasse des invocations pour lui-même, pour ses parents, pour ses proches, pour ses chouyoukh, pour ses compagnons, pour ses bien-aimés, pour ses amis, pour tous ceux qui ont fait du bien pour lui et pour l'ensemble des musulmans et qu'il se garde de manquer à cela car cette journée, il ne pourra pas la rattraper à l'opposé d'un autre jour. Il est recommandé de demander beaucoup le pardon et de prononcer le repentir de toutes les erreurs en y croyant avec le coeur et de pleurer beaucoup tout en évoquant et en invoquant parce que c'est là que coulent les larmes et qu'on demande pardon des faux pas, c'est là que l'on souhaite l'exaucement des demandes. Ce lieu est certes un lieu éminent et une station importante où les meilleurs des esclaves de Allāh sincères se réunissent ainsi que ceux qui sont les plus proches de Son agrément et c'est le plus éminent des regroupements dans le bas-monde.
Il a été rapporté dans le ṣaḥīḥ de Mouslim, d'après `A'ichah, que Allāh l'agrée, que le Messager de Allāh, ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam a dit:
« ما من يوم أكثر من أن يعتق الله تعالى فيه عبداً من النار من يوم عرفة »
ce qui signifie: « Il n'y a pas un jour dans lequel Allāh affranchisse plus d'esclaves de l'enfer que le jour de `Arafah »
Et d'après Talḥah Ibnou `Oubaydi l-Lâh, l'un des dix à qui le Prophète ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam a annoncé le paradis, que Allāh l'agrée, il a dit : Le Messager de Allāh ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam a dit:
« ما رؤي الشيطان أصغر ولا أحقر ولا أدحر ولا أغيظ منه في يوم عرفة
و ما ذاك إلا أن الرحمة تنزل فيه فيتجاوز عن الذنوب العظام »
ce qui signifie: « L'on ne voit pas le chayṭān plus petit, plus rabaissé, plus éloigné ni plus en fureur que le jour de `Arafah et ceci parce que la miséricorde descend en ce jour et des grands péchés y sont pardonnés ».
D'après Al-Fouḍayl Ibnou `Iyaḍ, que Allāh l'agrée, qu'il a regardé un jour les larmes des gens à `Arafah et il a dit : « Voyez-vous, si tous ceux-là partaient chez un même homme et qu'ils lui demandaient un sou, cet homme leur refuserait-il ?" Ils ont dit : Non. Il a dit : " Par Allāh, le pardon de Allāh `azza wa jall est plus facile que le fait que cet homme donne à ces gens-là un sou ».
On rapporte que Salim Ibnou `Abdi l-Lâh Ibni `Oumar Ibnou l-Khaṭṭâb, que Allāh l'agrée, a vu un mendiant mendier le jour de `Arafah. Il lui a dit : « Ô toi, tu es incapable en ce jour et tu demandes à autre que Allāh ta`ālā ».
Parmi les invocations, il y a encore:
« اللهمَّ ءاتنا في الدنيا حسنةً وفي الآخرة حسنةً وقنا عذابَ النار،
اللهمَّ إني ظلمتُ نفسي ظلمًا كثيرًا وإنه لا يغفرُ الذنوبَ إلا أنتَ فاغفرْ لي مغفرةً من عندك وارحمني
إنكَ أَنتَ الغفورُ الرحيمُ. اللهمَّ اغفرْ لي مغفرةً من عندكَ تُصلح بها شأني في الدَّارَين،
وارحمني رحمةً منك أسعد بها في الدارَين، وتبْ عليَّ توبةً نصوحًا لا أنكُثها أبدًا،
وأَلزمني سبيلَ الاستقامةِ لا أزيغُ عنها أبدًا، اللهمَّ انقلني من ذُلّ المعصيةِ إلى عزّ الطاعة،
وأَغْنني بحلالِك عن حرامكَ وبطاعتِكَ عن معصيتِكَ وبفضلِكَ عمن سواك، ونوّر قلبي
وقبري وأَعذني من الشَّرّ كلّهِ واجْمعْ ليَ الخيرَ كُلَّهُ. استودعتُكَ ديني وأمانتي وقلبي وبدَني وخواتيمَ عملي
وجميعَ ما أنعمتَ به عليَّ وعلى جميعِ أحبائي والمسلمين أجمعين »
(Allāhoumma 'âtinâ fi d-dounyâ ḥaçanah wa fi l-'âkhirati ḥaçanah wa qinâ `adhâba n-nâr. Allāhoumma 'innî ḍhalamtou nafsî ḍhoulman kathîrâ wa 'innahou lâ yaghfirou dh-dhounôuba 'il-lâ 'ant, faghfirlî maghfiratan min `indik wa rḥamni 'innaka 'anta l-Ghafôurou r-Raḥîm. Allāhoumma ghfir lî maghfiratan min `indik touṣliḥou biha cha'nî fi d-dârayn, wa rḥamnî raḥmatan minka 'as`adou bihâ fi d-dârayn, wa toub `alayya tawbatan naṣoūḥan lâ 'ankithouhâ 'abadâ, wa 'alzimnî sabîla l-'istiqâmah lâ 'azîghou `anhâ 'abadâ. Allāhoumma nqoulnî min dhoulli l-ma`ṣiyah ilâ `izzi ṭ-ṭâ`ah, wa 'aghninî biḥalâlika `an ḥarâmika wa bi ta`atika `an ma`ṣiyatik bi faḍlika `amman siwâk, wa nawwir lî qalbî wa qabrî wa 'a`idhnî mina ch-charri koullih wa jma` liya l-khayra koullah. 'Istawda`touka dînî wa 'amânatî wa qalbî wa badanî wa khawâtîma `amalî wa jamî`a mâ 'an`amta bihi `alayya wa `alâ jamî`i 'aḥibbâ'î wa l-mouslimîna 'ajma`în)
ce qui signifie: « Ô Allāh, accorde-nous dans le bas-monde un bienfait et dans l'au-delà un bienfait et préserve-nous du châtiment de l'enfer. Ô Allāh, j'ai été injuste avec moi-même, d'une grande injustice et nul ne pardonne les péchés sinon Toi. Pardonne-moi, par Ta grâce et fais-moi miséricorde. Tu es certes Celui Qui pardonne et Qui est miséricordieux. Ô Allāh pardonne moi par Ta grâce d'un pardon par lequel Tu fais que mon état soit meilleur dans les deux résidences (bas monde et au delà) et fais moi miséricorde d'une miséricorde par laquelle je serais heureux dans les deux résidences, accorde-moi un repentir définitif que ne je rompe plus jamais et attache-moi à la voie de la droiture de laquelle je ne dévie jamais. Ô Allāh fais-moi passer de l'humiliation du péché à l'honneur de l'obéissance et suffis-moi par ce qui est licite contre ce qui est interdit, par Ton obéissance contre Ta désobéissance et par Ta grâce contre tout autre que Toi, éclaire mon coeur et ma tombe et préserve moi de tous les maux et accorde-moi tous les biens. Je te confie ma religion, ce qui est à ma charge, mon coeur, mon corps et la fin de mes actes et tout ce que Tu m'as accordé par Ta grâce, à moi, à tous mes bien-aimés et à l'ensemble musulmans ».
Il convient d'autre part de rester en station à `Arafah jusqu'au coucher du soleil. Ainsi il réunit dans sa station le jour et la nuit.
Et qu'il se garde de toutes ses forces de la dispute, de l'insulte, de l'éloignement des cœurs et des paroles laides. Il convient même d'éviter les paroles indifférentes autant qu'il le peut parce que ceci constitue une perte de temps importante dans ce qui n'est pas important, tout en craignant de glisser dans une paroles interdites que ce soit une médisance ou autre.
Il convient également de prendre garde, de toutes ses forces de mépriser celui qu'il voit vêtu de vieux habits ou qui n'aurait pas accompli quelque chose qui n'est pas un devoir et qu'il prenne garde aussi de priver les mendiants et ce qui est du même ordre.
Et qu'il fasse beaucoup d'œuvres de bien, le jour de `Arafah et durant les dix premiers jours de dhou l-Ḥijjah. Il a en effet été confirmé dans le ṣaḥīḥ de Al-Boukhâriyy, d'après Ibnou `Abbâs, que Allāh les agrée tous les deux, d'après le Prophète ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam qu'il a dit:
« ما العمل في أيام أفضل منه في هذا الأيام »
ce qui signifie: « Il n'y a pas d'acte durant d'autres jours meilleur que l'acte qui est accompli pendant ces jours », c'est à dire les dix jours de dhou l-Hijjah. Ils lui ont dit: " Pas même le jihâd ?" Il a dit:
« ولا الجهاد إلا رجل خرج يخاطر بماله ونفسه فلم يرجع بشيء »
ce qui signifie: « Pas même le jihâd, mis à part un homme qui est sorti en s'exposant lui-même et son bien puis aucun des deux n'est revenu ».
Remarque: Il a été rapporté dans le ḥadīth que le jour de `Arafah, Dieu a créé tout les humains sous petite forme avec les âmes et ils ont tous témoigné qu'il n'est de dieu que Dieu ; par la suite, ils ont oublié cela et certains ont appris l'islam et d'autres ont appris la mécréance.
Mise en garde: ce qui est répandu chez certains gens, le fait que si le jour de `Arafah coïncide avec le jour de vendredi, alors il sera pardonné à tous les gens présent à `Arafah, ceci n'est pas correct, ceci n'est pas vrai. De même leur parole que si le jour de la station à `Arafah coïncide avec le jour de vendredi, alors le pèlerinage en vaudrait 70 ou 7, ceci n'est pas vrai non plus.
Quant à ce que l'on appelle (al-Ḥajj al-'akbar) il s'agit du jour de Al-`Id et ce n'est pas ce que eux prétendent.
الحمد لله رب العالمين
La louange est à Allāh, le Créateur du monde.
https://www.islam.ms/?p=575