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Recommandation lors d'une naissance

Il est recommandé lors d'une naissance de faire l'appel à la prière (adhân) dans l'oreille droite du bébé et l'annonce de la prière ('iqâmah) dans son oreille gauche.

La Résurrection, le Rassemblement et le Jour Dernier

La résurrection est la sortie des morts de leur tombe après que Allāh leur crée à nouveau le corps qui a été assimilé par la terre dans le cas où il faisait partie des corps qui sont assimilés par la terre. Il s’agit donc des corps autres que ceux des prophètes et des martyrs de combat. Certains saints également, la terre n’assimile pas leur corps, cela ayant été confirmé suite à l’observation de plusieurs personnes rapportées par plusieurs personnes. Les gens seront rassemblés en un lieu qui est la terre changée, elle est plate, ne comportant ni vallée, ni rivière, ni montagne. Le jour dernier débute avec la sortie des gens de leur tombe et dure jusqu’à l’établissement des gens du paradis au paradis et des gens de l’enfer en enfer. Le Jour dernier dure 50 mille ans de ce que l'on compte, mais le musulman pieux ne ressentira pas cela.

Les ḥadīth non explicites

Al-Boukhāriyy a rapporté que le Messager de Allāh ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam a dit: سَبْعَةٌ يُظِلُّهُمُ اللَّهُ فِي ظِلِّهِ يَوْمَ لاَ ظِلَّ إِلاَّ ظِلُّهُ (sab`atoun youḍhil-louhoumou l-Lâhou fī ḍhil-lih yawma lâ ḍhilla ‘il-lâ ḍhillouh) ce qui signifie : « Il y a sept catégories de personnes que Allāh protègera à l’ombre du Trône, le Jour où il n’y aura pas d’autres ombres que l’ombre du Trône ». Dans ce ḥadīth, il s’agit d’une indication que l’ombre en question correspond à l’ombre d’une chose honorée (at-tachrîf) selon le jugement de Allāh, et il s’agit du Trône. Ce ḥadīth ne signifie donc pas comme le prétendent faussement les moujassimah [ceux qui attribuent à Allāh le corps], que ces sept catégories de personnes seront sous l’ombre de Dieu au Jour du Jugement. Ces égarés ont clairement affichés leur croyance anthropomorphiste en donnant à ce ḥadīth une telle signification.

Explication sur al-'istiḥāḍah (sang de maladie autre que les menstrues et lochies) Partie 2

Lorsque la femme voit un écoulement de sang, même pendant la grossesse mais pas lorsqu'elle a les douleurs précédant l'accouchement, pendant une période de menstrues. Commentaire: C'est-à-dire que lorsque la fille voit un écoulement de sang, même si elle est enceinte, dans le temps où elle peut avoir les menstrues c'est-à-dire à un âge auquel on considère que le sang qu'elle a est un sang de menstrues à savoir neuf ans lunaires (lunaire veut dire du croissant lunaire au croissant lunaire car le mois lunaire commence à partir du croissant jusqu'au croissant et l'année dure douze mois lunaires). Lorsque la fille atteint la puberté et qu'elle voit du sang durant vingt-quatre heures, même en discontinu sur une période de quinze jours, ce sang-là est du sang de menstrues. En revanche, ce que voient les femmes lors de l'accouchement n'est pas des menstrues ni des lochies. L'accouchement signifie lorsqu'elle a les douleurs qui précèdent la sortie de l'enfant, lorsque l'enfant s'apprête à sortir.

Explication sur al-'istiḥāḍah (sang de maladie autre que les menstrues et lochies) Partie 3

La période durant laquelle le sang était faible est une istiḥāḍah et la période durant laquelle le sang était fort est une période de menstrues. Commentaire: Le sang faible est une période d'istiḥāḍah et le sang fort est une période de menstrues. Toutefois il est une condition que le fort ne dure pas moins que vingt-quatre heures et que le faible ne dure pas moins que quinze jours. Ceci est la condition pour qu'elle soit moubtada'ah moumayyizah. Dans ce cas nous disons que le noir qui n'a pas duré moins qu'un jour et une nuit sans dépasser quinze jours est un sang de menstrues et que ce qui vient après, qui est rouge, nous disons que c'est une istiḥāḍah.

Explication sur al-'istiḥāḍah (sang de maladie autre que les menstrues et lochies) Partie 4

La femme peut être moutaḥayyirah – dans l’embarras –. Commentaire: Les quatre catégories sont ainsi terminées : celle qui a les menstrues pour la première fois qui est capable de distinguer : moubtada'ah moumayyizah, celle qui a les menstrues pour la première fois qui n'est pas capable de distinguer : moubtada'ah ghayrou moumayyizah, celle qui est habituée à avoir les menstrues et qui est capable de distinguer : mou`tâdah moumayyizah et celle qui est habituée à avoir des menstrues mais qui n'est pas capable de distinguer : mou`tâdah ghayrou moumayyizah. Ce sont là quatre catégories, il en reste trois. Concernant la femme qui est moustahadah, il reste trois cas. Maintenant il parle de la moutaḥayyirah, celle qui est dans l'embarras, il s'agit de la cinquième des sortes de moustahadah.

Mise en garde contre la secte wahhabite, wahhabisme. Faux Salafites. 2

Le premier point qui fonde le dogme wahhabite, c'est le Tachbîh, c'est-à-dire l'assimilation de Allāh à Ses créatures (l'anthropomorphisme). Les wahhabites posent comme règle fondamentale qu'il faut prendre au premier sens, dans les textes sacrés, toutes les expressions équivoques au sujet du Créateur, alors que ces expressions ont pour but d'exprimer la majesté, la puissance, la miséricorde, l'agrément ou d'autres attributs dignes de la divinité. Ainsi, ils en sont venus à dire que le Créateur serait un corps assis sur le Trône, ayant des mains du côté droit, qu'Il se déplacerait, s'étonnerait, rirait, qu'Il aurait un pied qu'Il mettrait dans l'enfer.

Mise en garde contre la secte wahhabite, wahhabisme. Faux Salafites. 4

Le deuxième point qui fonde la doctrine des wahhabites c'est le rejet pur et simple de toute forme de tawassoul , c'est-à-dire le fait d'invoquer le Créateur par la demande d'intercession des prophètes et des saints. A partir de ce rejet, ils considèrent les prophètes comme des cadavres et des amas d'ossements dans leurs tombes sans aucune valeur. C'est aussi à partir de là qu'ils interdisent une bonne partie des choses que l'ensemble des musulmans pratique et qu'ils considèrent tous les musulmans non-croyants dans leur ensemble.

Les choses qui annulent l’ablution - wouḍoū' - selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, les choses qui annulent l’ablution - le wouḍoū' - sont au nombre de quinze. Il s’agit du ḥadath qui est tout ce qui annule par lui-même, des causes du ḥadath, et de ce qui amène à l’état de ḥadath. Quant au ḥadath, c'est ce qui sort de manière habituelle des deux orifices inférieurs antérieur et postérieur...

Ce qui devient interdit lorsque le Woudou' - ablution - est annulé selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, la prière même s’il s’agit d’une prière funéraire le Tawaf les tours rituels autour de la Ka`bah, de toucher le Mous-haf ou sa couverture par la main, ou encore par l’intermédiaire d’un bâton, ou ce qui est de cet ordre, exception faite pour l’enseignant qui l’enseigne ou pour l’étudiant qui l’apprend ; le jugement est le même pour la partie ou section du qour'ān et l’ardoise contenant le qour'ān.

Ce qui devient interdit à celui qui est en état de grand ḥadath selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, il devient interdit à la personne qui est en état de grand ḥadath suite à un rapport sexuel ou une émission de maniyy (jounoub) six choses, parmi elles: la prière, la prosternation de la lecture du qour'ān, le tawaf, par l’unanimité. Il lui également interdit de toucher le Mousḥaf, même avec un bâton, et même s’il s’agit d’un enseignant ou d’un apprenant ainsi que le port du Mous-ḥaf selon l’explication détaillée citée plus haut, l’entrée dans la mosquée même si ce n’est pas pour y rester, exception faite pour le voyageur passant, qui se retrouve en état de grand ḥadath et qui ne peut accéder à l’eau qu’en entrant dans la mosquée, il est permis à celui-ci d’y entrer. De même lui est interdite la retraite spirituelle dans la mosquée et la récitation du Qour'ān par la langue.