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Transaction: le contrat de mariage en Islam

Parmi les conditions de validité du contrat de mariage: la formule, comme si le tuteur dit ce qui signifie: "je te marie Une telle"(zawwajtouka foulānah) et que l'époux réponde ce qui signifie : "j'accepte son mariage" (qabiltou ziwājahā). Deux témoins musulmans libres, de sexe masculin, pubères, sains d’esprits, juste. Que l'époux soit musulman pour la musulmane.

Explication Traité de Croyance Musulmane de l’Imam Ibnou `ASAKIR - Partie 7

Al-Boukhâriyy et Mouslim rapportent du Messager de Allāh, qu'il disait après sa prière ce qui signifie: « Il n’est de dieu que Allāh, Il est unique, Il n’a pas d’associé, Il a la souveraineté et Il est Celui Qui mérite la louange et Il est sur toute chose tout-puissant, ô Allāh, nul ne prive de ce que Tu donnes et nul ne donne ce dont Tu as privé. »

Explication Traité de Croyance Musulmane de l’Imam Ibnou `ASAKIR - Partie 8

Tout bienfait de la part de Dieu est une grâce; Ce n’est pas une obligation pour Allāh d’accorder à Ses esclaves des bienfaits. Il accorde les bienfaits par une grâce et une générosité de Sa part. Et s’Il ne leur accordait pas ces bienfaits, Il ne serait pas injuste envers eux, tout comme Il dit soubḥânah ce qui signifie: « Et n’eussent été la grâce et la miséricorde de Allāh, aucun d’entre vous n’aurait été guidé. ». Et tout châtiment de Sa part est une justice. Allāh n’est injuste envers personne. On ne doit pas faire d’objection à Allāh.

Explication Traité de Croyance Musulmane de l’Imam Ibnou `ASAKIR - Partie 10

Dieu existe sans endroit, sans comment et sans direction. Il n’est pas permis de dire: « Depuis quand Allāh existe-t-Il ? » car il y a en cela l’attribution du début, d’exister après avoir été inexistant à Allāh et de l’écoulement du temps à Son sujet. Il n’est pas permis non plus de dire: « Où est Allāh ? » c’est-à-dire de demander dans quel endroit se trouverait Allāh, ni de dire: « Comment est-Il ? » parce qu’il y a en cela le fait de Lui attribuer les attributs des créatures.

La Croyance en l’Enfer, au Pont Ṣirāṭ et au Bassin Al-Ḥawḍ

Parmi les choses qu'il est un devoir de croire, il y a la croyance en l’enfer à savoir la géhenne, c’est-à-dire de croire que l’enfer est déjà créé actuellement et qu’il demeurera sans fin. La croyance au Ṣirāṭ qui est un pont qui surplombe l’enfer et auquel les gens parviendront. L’une de ses deux extrémités est sur la terre changée (sur laquelle il y a le rassemblement), l’autre atteint le voisinage du paradis et par delà l'enfer. Les gens passeront le long du pont. Les croyants seront de deux catégories : certains ne fouleront pas le pont mais passeront par la voie des airs en volant (à savoir les pieux et les vertueux) et d’autres le fouleront. Le bassin est une vérité. C'est un lieu dans lequel Allāh a préparé une boisson pour les gens du paradis. Ils en boiront avant l'entrée au paradis, après la traversée du pont.

L'intercession Ach-Chafā`ah

Nous devons croire à l’intercession qui aura lieu en faveur des musulmans grands pécheurs. Les prophètes intercèderont, les savants qui œuvrent pour la religion également ainsi que les martyrs et les anges. De même l'enfant qui meurt avant la puberté intercède en faveur de ses deux parents qui sont morts musulmans. Personne n’intercédera au Jour du Jugement en faveur du non-croyant, aucun prophète, ni aucun ange et ni aucun savant n’intercédera en sa faveur au Jour du Jugement.

La Croyance en l'Éternité du Paradis et de l'Enfer

Il est un devoir de croire que les gens du paradis demeureront éternellement au paradis et que les gens de l’enfer demeureront éternellement en enfer. Il n’y aura pas de mort après cela. Dans le Qour'ân il est cité que le non-croyant souhaitera être transformé en terre ceci quand il voit les animaux être transformés en terre, ainsi le non-croyant dans l'au-delà souhaitera ne plus exister pour ne pas sentir la douleur insupportable sans fin. Ainsi la mécréance est le plus grand péché et fait tomber dans le pire état.

Exégèse de soūrat Al-Moulk 'āyah 11 à 15

fa`tarafoū bidhanbihim c'est-à-dire ils ont reconnu leur mécréance par le fait d'avoir démenti les Messagers et cette reconnaissance ne leur sera pas utile, elle ne les sauvera pas du châtiment de Allāh. fasouḥqan li 'aṣḥābi s-sa`īr c'est-à-dire que soient éloignés les gens de l'enfer, qu'ils soient éloignés de la miséricorde de Allāh et ceci est une invocation contre eux.

Exégèse de soūrat Al-Moulk 'āyah 21 à 25

'amman hādha l-Ladhī yarzouqoukoum 'in 'amsaka rizqah bal lajjoū fī `outouwwin wa noufoūr c'est-à-dire si Allāh vous prive de Sa subsistance, qui vous accordera la subsistance ?! c'est-à-dire personne ne peut vous accorder la subsistance si Allāh ta`ālā arrête sur vous les causes, comme la pluie et les plantes et autres que cela. bal lajjôu fî `outouwwin wa noufoūr mais ils persévèrent et ils persistent alors que la vérité est claire, ils persistent sur l'orgueil et l'entêtement. Et ils persistent à s'éloigner de la vérité et à se détourner de la vérité.

Les versets non explicites

Dans la langue arabe, il y a de grandes possibilités d’utilisation des sens figurés et beaucoup de richesse dans le langage. De plus, les compagnons du Prophète ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam connaissaient les racines des mots et comprenaient leurs diverses significations. Celui donc qui ne s’autorise jamais à expliquer les textes par un autre sens que le sens apparent, c’est en raison de son peu de compréhension de la langue arabe. Quant à celui qui a de vastes connaissances dans la langue arabe d’origine [la langue dans laquelle a été révélé le Qour’ân], il lui est facile de comprendre les sens réels.

Explication sur al-'istiḥāḍah (sang de maladie autre que les menstrues et lochies) Partie 2

Lorsque la femme voit un écoulement de sang, même pendant la grossesse mais pas lorsqu'elle a les douleurs précédant l'accouchement, pendant une période de menstrues. Commentaire: C'est-à-dire que lorsque la fille voit un écoulement de sang, même si elle est enceinte, dans le temps où elle peut avoir les menstrues c'est-à-dire à un âge auquel on considère que le sang qu'elle a est un sang de menstrues à savoir neuf ans lunaires (lunaire veut dire du croissant lunaire au croissant lunaire car le mois lunaire commence à partir du croissant jusqu'au croissant et l'année dure douze mois lunaires). Lorsque la fille atteint la puberté et qu'elle voit du sang durant vingt-quatre heures, même en discontinu sur une période de quinze jours, ce sang-là est du sang de menstrues. En revanche, ce que voient les femmes lors de l'accouchement n'est pas des menstrues ni des lochies. L'accouchement signifie lorsqu'elle a les douleurs qui précèdent la sortie de l'enfant, lorsque l'enfant s'apprête à sortir.