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Interdiction de vendre ce qu’on n’a pas encore reçu
Parmi les ventes interdites, il y a vendre ce que l’on n’a pas encore reçu. Ce jugement chez l’imam Ach-Châfi`iyy, que Allāh l’agrée, est général. Il englobe toutes les sortes de ventes, que l’objet vendu soit une denrée alimentaire ou autre. La réception ici est réalisée en libérant l’immobilier c’est-à-dire en donnant à l’acheteur la possibilité de jouir de l’immobilier qu’il a acheté. Ainsi pour une maison, il est une condition qu’elle soit vidée de toutes autres affaires que celles de l’acheteur et de donner les clefs à l’acheteur.
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Interdiction de Vendre un bien qui ne lui appartient pas et sans autorisation pour le faire
Celui qui vend un bien qui ne lui appartient pas et pour lequel il n’a pas eu d’autorisation de vendre par une des voies légales, il ne lui est pas permis de pratiquer cette vente-là. En revanche, celui qui a une autorisation ou qui est mandaté sur le bien d’autrui, comme le tuteur d’un orphelin ou quelqu’un qui a été délégué par le propriétaire, la vente effectuée par cette personne est valable dans ce cas-là.
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La Vente par le fou ou l’enfant n’est pas valable
La vente par le fou ou l’enfant n’est pas valable: la vente de son bien à autrui n’est pas valable et il n’est pas valable à quelqu’un de responsable de lui vendre son bien. Toutefois, certains Imams ont rendu permise la vente effectuée par l’enfant ayant atteint la distinction avec l’autorisation de son tuteur [en lui précisant ce qu’il achète concernant l’achat]. Ceci est la voie de l’imam Aḥmad et d’autres savants.
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Interdiction de Frauder dans la vente ou Trahir
Parmi les ventes interdites, il y a frauder dans la vente ou trahir aussi bien dans la mesure du volume, du poids, de la longueur ou du nombre ou encore mentir en parlant d’une de ces choses-là. Allāh ta`ālā dit ce qui signifie: « Al-Wayl - le grand châtiment - pour les Mouṭaffifîn, ceux qui, lorsqu’ils achètent aux gens, prennent tout leur droit, et lorsqu’ils mesurent ou pèsent pour les gens, diminuent. Ces gens là ne savent-ils pas qu’ils seront ressuscités pour un jour éminent, un jour où les gens viendront au jugement du Seigneur des mondes ».
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Ce qui devient interdit à celui qui est en état de grand ḥadath selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence malikite, il devient interdit à la personne qui est en état de grand ḥadath suite à un rapport sexuel ou une émission de maniyy (jounoub) six choses, parmi elles: la prière, la prosternation de la lecture du qour’ān, le tawaf, par l’unanimité. Il lui également interdit de toucher le Mousḥaf, même avec un bâton, et même s’il s’agit d’un enseignant ou d’un apprenant ainsi que le port du Mous-ḥaf selon l’explication détaillée citée plus haut, l’entrée dans la mosquée même si ce n’est pas pour y rester, exception faite pour le voyageur passant, qui se retrouve en état de grand ḥadath et qui ne peut accéder à l’eau qu’en entrant dans la mosquée, il est permis à celui-ci d’y entrer. De même lui est interdite la retraite spirituelle dans la mosquée et la récitation du Qour’ān par la langue.
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Les Piliers de la Prière selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence Malikite, les piliers de la prière sont quatorze. Le premier est l’intention de la prière concernée par le cœur en même temps que la takbīrah d’entrée en rituel en précisant de quelle prière il s’agit c’est-à-dire l’intention de faire la prière du dhouhr par exemple, celle du `Asr, celle du Witr, ou celle du Fajr. Si elle la devance de peu de temps, c’est valable, comme le cas de la personne qui, au moment d’entrer dans la mosquée, formule dans le cœur l’intention de faire une prière spécifique en assemblée et non pas une autre prière, cela constitue une intention suffisante.
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Lois et règles du jeûne selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence Malikite, il devient une obligation de jeûner le mois de Ramaḍān par l’une de ces cinq choses et il n’est pas permis de se baser sur les propos des astronomes, selon l’unanimité des savants: compléter le mois de Cha`ban à trente jours, la vision du croissant lunaire pour celui qui l’a vu, la confirmation de l’apparition du croissant lunaire pour celui qui ne l’a pas vu, par le témoignage de deux personnes dignes de confiance,..
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