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Interprétation du Qour'ān Exégèse soūrat Yāçīn 'āyah 69 à 75

Ce n'est pas de la poésie mais c'est un dhikr, une évocation, un qour'ān clair, c'est une évocation de la part de Dieu par lequel sont exhortés les humains et les jinns, c'est un Livre Céléste qu'on récite dans les lieux d'adoration et les lieux de prière. Et en le récitant, en agissant conformément à ce qour'ān, on a la réussite dans le bas-monde et dans l'au-delà. Donc, il est loin de la poésie qui vient souvent des mauvaises suggestions du chayṭān.

Interprétation du Qour'ān Exégèse soūrat Yāçīn 'āyah 76 à 83

Ne te soucie pas (ô Mouhammad) de leurs démentis et leurs nuisances, certes Allāh sait leurs animosités qu'ils font en cachette et au grand jour, Il va les rétribuer sur cela.

La Raison Témoigne de la Véracité de l'Islam. Répliques aux athées. 2ème partie

Les preuves rationnelles confirment l'entrée en existence de l’univers. L’univers est une preuve de l’existence de Allāh parce qu’il n’est pas valable selon la raison qu’un acte quelconque existe sans auteur. Seul Allāh n'est pas concerné par l’entrée en existence. Il est sans début, sans fin et n’a aucune ressemblance avec ses créatures.

La Raison Témoigne de la Véracité de l'Islam. Répliques aux athées. 3ème partie

L'existence du prophète Mouḥammad est confirmée par la nouvelle moutawātir (notoire) et sa véracité est confirmé par le miracle. Le miracle est une chose extraordinaire qui ne peut pas être contrecarrée par quelque chose de semblable.

Péchés de la Langue: Rapporter les paroles pour semer la discorde - An-Namīmah -

Parmi les péchés de la langue, il y a rapporter les paroles des uns aux autres pour semer la discorde -An-Namîmah -. An-Namîmah est un grand péché ; elle fait partie des péchés de la langue parce qu’il s’agit de paroles par lesquelles on veut séparer deux personnes, ce qui amène la rupture des liens entre eux, le mal et l’animosité. En d’autres termes, elle consiste à rapporter la parole des gens les uns aux autres, pour semer la discorde et le mal entre ces gens-là.

Péchés de la Langue: le Mensonge

Le mensonge est interdit selon l’Unanimité que ce soit en étant sérieux ou en plaisantant même si cela ne comporte pas de nuisance envers quelqu’un, conformément à la parole qui a été rapportée en étant attribuée au Messager de Allāh, ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam et à l’un des compagnons ce qui signifie : « Le mensonge n’est valable ni étant sérieux ni en plaisantant » [rapporté par Al-Bayhaqiyy]

Péchés de la Langue: le Faux Témoignage

Parmi les péchés de la langue, il y a le faux témoignage et ici « faux » veut dire mensonger. Il s’agit d’un grand péché. Le Messager de Allāh, ṣalla l-Lâhou `alayhi wa sallam il a dit ce qui signifie : « Le faux témoignage est un très grand péché » [rapporté par Abôu Dâwôud et Al-Bayhaqiyy ]. Ce ḥadīth ne veut pas dire que ce péché fait sortir de l’Islam.

Inciter à la discorde et les animaux à se battre

Parmi les péchés de la langue et qui est un grand péché, il y a semer la zizanie (at-taḥrîch ) par l’incitation à faire quelque chose d’interdit pour semer la discorde entre deux musulmans ; comme de dire à quelqu’un "est ce que tu peux battre untel", ou "si j’étais à ta place je l’aurais frappé".

Preuves du Qour’ân sur l’existence de versets explicites et de versets non explicites

Allāh ta`ālā dit ce qui signifie : « C’est Lui Qui a fait descendre sur toi le Livre qui comporte des verset explicites (mouḥkamah) qui sont la base du Livre (qui constituent la majeur partie des versets du Qour’ân) et d’autres [versets qui sont] non explicites (moutachâbihah) » [sourat ‘Ali `Imrân / ‘ayah 7].

Les Versets Explicites

La plupart des textes de la révélation du Qour’ân et du ḥadîth sont des textes explicites. Nous allons citer les principaux versets explicites qui concernent la croyance au sujet de Allāh. Allāh ta`ālā dit ce qui signifie : « N’attribuez pas d’équivalents (ou des semblables) à Allāh » [sôurat An-Naḥl / ‘âyah 74]. Les savants spécialistes des fondements de la croyance ont dit que la plus explicite des ‘âyah du Qour’ân au sujet de la non ressemblance absolue entre Allāh et ses créatures, c’est le verset 11 de sôurat Ach-Chôurâ qui signifie : « Rien (dans l’absolu) n’a de ressemblance avec Lui ».

Les versets non explicites

Dans la langue arabe, il y a de grandes possibilités d’utilisation des sens figurés et beaucoup de richesse dans le langage. De plus, les compagnons du Prophète ṣalla l-Lāhou `alayhi wa sallam connaissaient les racines des mots et comprenaient leurs diverses significations. Celui donc qui ne s’autorise jamais à expliquer les textes par un autre sens que le sens apparent, c’est en raison de son peu de compréhension de la langue arabe. Quant à celui qui a de vastes connaissances dans la langue arabe d’origine [la langue dans laquelle a été révélé le Qour’ân], il lui est facile de comprendre les sens réels.