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Partage de l'héritage
Il n'est pas valable de partager un héritage laissé par un défunt avant que ne soient réglés tous les droits qui pèsent sur ce défunt : les dettes qu'il avait, que ce soient des dettes à l'égard des gens ou à l'égard de Allāh comme la zakât qui est obligatoire sur un bien, avant que ne soient exécutés ses legs, c'est-à-dire ce qu'il a recommandé de donner après sa mort et que ne soient mis de côté le prix d'un pèlerinage et d'une `oumrah qui sont à sa charge comme lorsque quelqu’un est mort alors qu'il devait encore les accomplir
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Vendre ce que l'on n’a pas la capacité de livrer n'est pas valable
Parmi les ventes interdites, il y a vendre ce que l'on n’a pas la capacité de livrer. Néanmoins, la vente est valable si l'acheteur est dans la capacité de récupérer le bien. Il n'est donc pas valable de vendre ce qui est perdu, ce qui a été pris injustement et ce qui s'est égaré pour celui qui n'est pas capable de le ramener. Contrairement à celui qui en est capable sans trop de charges ou de difficultés. Dans ce cas-là, ceci est permis.
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Les choses interdites à celui qui est entré en rituel de pèlerinage Hajj ou de `oumrah:
Les choses interdites à celui qui est entré en rituel de pèlerinage ou de `oumrah : Parmi les choses interdites à celui qui est entré en rituel, deux sont spécifiques aux hommes: se couvrir la tête. porter un vêtement qui entoure le corps grâce à une couture, au formage du feutre ou à ce qui est équivalent. Il est interdit à la femme: de se couvrir le visage. de porter des gants.
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Les signes de la puberté selon l’école de jurisprudence malikite
Selon l’école de jurisprudence malikite, les signes de la puberté sont cinq. Si un seul de ces cinq signes apparaît chez l’individu, ce dernier est alors considéré comme pubère. Ce n’est pas une condition que les autres signes soient réunis. Il y a le fait d’avoir complété dix-huit ans lunaires, selon l’avis le plus réputé dans cette école. Il y a l’éjaculation, à savoir lorsque la personne voit sortir son propre sperme ou son équivalent chez la femme. Il y a l’apparition des poils pubiens qui sont drus Il y a le sang des menstrues et la grossesse.
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Les obligations du wouḍoū' - petite ablution - selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence malikite, les obligations du wouḍoū' sont sept: l’intention, le lavage du visage, le lavage des deux mains jusqu’aux coudes, passer la main mouillée sur la tête, le lavage des deux pieds chevilles comprises, la continuité et le dalk, qui consiste à passer la main sur l’endroit qui doit être lavé au moment de verser l’eau.
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Les choses qui annulent l’ablution - wouḍoū' - selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence malikite, les choses qui annulent l’ablution - le wouḍoū' - sont au nombre de quinze. Il s’agit du ḥadath qui est tout ce qui annule par lui-même, des causes du ḥadath, et de ce qui amène à l’état de ḥadath. Quant au ḥadath, c'est ce qui sort de manière habituelle des deux orifices inférieurs antérieur et postérieur...
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Les choses qui impliquent la grande ablution - le ghousl - selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence malikite, les choses qui rendent obligatoire la grande ablution sont au nombre de cinq. Quatre parmi elles imposent obligatoirement à la personne elle-même de faire la grande ablution dont deux sont communes à l’homme et la femme: l'émission du maniyy, le rapport sexuel, les menstrues, les lochies et la mort.
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Comment faire le Ghousl - La Grande Ablution - Obligatoire selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence malikite, les piliers, sont l'intention, répandre l’eau sur tout le corps, le dalk et la continuité.
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Ce qui devient interdit lorsque le Woudou' - ablution - est annulé selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence malikite, la prière même s’il s’agit d’une prière funéraire le Tawaf les tours rituels autour de la Ka`bah, de toucher le Mous-haf ou sa couverture par la main, ou encore par l’intermédiaire d’un bâton, ou ce qui est de cet ordre, exception faite pour l’enseignant qui l’enseigne ou pour l’étudiant qui l’apprend ; le jugement est le même pour la partie ou section du qour'ān et l’ardoise contenant le qour'ān.
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Ce qui devient interdit à celui qui est en état de grand ḥadath selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence malikite, il devient interdit à la personne qui est en état de grand ḥadath suite à un rapport sexuel ou une émission de maniyy (jounoub) six choses, parmi elles: la prière, la prosternation de la lecture du qour'ān, le tawaf, par l’unanimité. Il lui également interdit de toucher le Mousḥaf, même avec un bâton, et même s’il s’agit d’un enseignant ou d’un apprenant ainsi que le port du Mous-ḥaf selon l’explication détaillée citée plus haut, l’entrée dans la mosquée même si ce n’est pas pour y rester, exception faite pour le voyageur passant, qui se retrouve en état de grand ḥadath et qui ne peut accéder à l’eau qu’en entrant dans la mosquée, il est permis à celui-ci d’y entrer. De même lui est interdite la retraite spirituelle dans la mosquée et la récitation du Qour'ān par la langue.
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Explication sur le Tayammoum - l'ablution sèche - selon l’école de jurisprudence Malikite
Selon l’école de jurisprudence Malikite, il est permis de faireُ اﻟﺗﱠﯾَﻣﱡم le tayammoum pour deux raisons: le manque d’une quantité suffisante d’eau c’est-à-dire que la personne n’a pas trouvé suffisamment d’eau pour faire sa purification : soit elle n’en a pas trouvé du tout, soit elle en a trouvé mais pas assez pour faire sa purification, qu’elle soit en voyage ou en statut de résident. Et la deuxième raison est la présence d’une excuse qui justifie que la personne n’utilise pas l'eau malgré sa disponibilité.
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