ange de la mort. Apprendre l'Islam pour les convertis et les débutants gratuitement. Informations religion musulmane. Site Musulman Sunnite. Islam.ms

Omettre de laisser un testament signalant une dette

Parmi les péchés de la langue, il y a omettre de laisser un testament signalant une dette ou signalant un objet appartenant à autrui laissé chez soi à titre de dépôt (wadî`ah) ou ce qui est de cet ordre, si on craint que cette dette ou cet objet soient égarés avec sa mort par exemple causée par une maladie mortelle qui l’aurait atteint dans le cas ou personne d’autre n’a connaissance de la dette ou de l’objet.

Massacre des musulmans de Aṭ-Ṭā’if en Arabie par la Secte des Wahhabites faux salafites

Lorsqu’ils entrèrent dans Aṭ-Ṭā’if, les Wahhabites se livrèrent à une tuerie générale des gens, les adultes et les jeunes, ceux qui sont commandés comme ceux qui commandent, les notables et les gens du commun. Ils égorgèrent même le nourrisson sur la poitrine de la mère; ils montaient dans les maisons, faisaient sortir ceux qui s’y réfugiaient et les tuaient. Ils trouvèrent un groupe qui étudiait le Qour’ân et les tuèrent du premier au dernier.

Al-Fatawa Al-Hindiyyah: attribuer un endroit à Allāh est de la mécréance

Dans Al-Fatawa Al-Hindiyyah, il est dit clairement qu’attribuer à Allāh un endroit est de la mécréance. Et également que celui qui dit « Allāh fi s-sama» et qui vise par cette parole que Allāh est dans un endroit, a également commis de la mécréance.

Réciter le Coran Qour’ân en Faveur des Morts Musulmans est Permis selon l’Unanimité des Savants Sunnites des Quatre Écoles

Le Messager de Allāh a dit: « إِقْرَءُوا يَس عَلَى مَوْتَاكُم » qui signifie: « Récitez Yâ-sîn pour vos morts ». L’Imam An-Nawawiyy a également dit dans CharHou l-Madh-hab ce qui suit: « Il est recommandé à celui qui rend visite aux tombes de réciter ce qu’il peut du Qour’ân et après quoi de leur faire des invocations. Les gens de ‘Ahlou s-Sounnah sont unanimes à dire que les invocations des musulmans et la demande de pardon sont utiles au mort musulman ».

L’Héritage en Islam : Lois, Partage des Biens. Règles de succession

Il n’est pas valable de partager un héritage laissé par un défunt avant que ne soient réglés tous les droits qui pèsent sur ce défunt: les dettes qu’il avait, avant que ne soient exécutés ses legs, et que ne soient mis de côté le prix d’un pèlerinage et d’une `oumrah qui sont à sa charge.

`Âchôurâ 10 Mouḥarram. Discours du vendredi

l’Imam Aḥmad rapporte dans son Mousnad, avec une chaîne de transmission jusqu’à Abôu Hourayrah, que Allāh l’agrée, que le Prophète est passé auprès de non musulmans qui étaient en train de jeûner le jour de `Âchôurâ’ et il leur a dit: « فَقالَ ما هَذا مِنَ الصَّوْمِ » ce qui signifie: « Qu’est-ce que ce jour représente pour que vous le jeûniez ? » Ils ont répondu: « C’est le jour où Allāh a sauvé de la noyade Môuçâ et les fils de ‘Isrâ’îl, alors que Pharaon est mort noyé ! Et c’est le jour où l’arche de Noūḥ s’est établi sur al-Jôudiyy. Noūḥ et Môuçâ l’ont jeûné pour remercier Allāh ta`âlâ. »

Achoura 10 Mouḥarram

Il est recommandé de jeûner le jour de `Achoūrā’, ainsi qu’un jour avant (et un jour après). Le jour de `Achoūrā’ est le jour durant lequel Dieu a sauvé Moūçā et a fait noyer Pharaon. C’est aussi le jour où Il a accepté le repentir de ’Adam, où Il a sauvé l’Arche de Noūḥ -Noé-. Le Messager de Allāh a dit ce qui signifie: « Aujourd’hui c’est le jour de `Achoūrā’, Allāh n’a pas fait un devoir pour vous de le jeûner; que celui qui le veut jeûne, et que celui qui ne le veut pas ne jeûne pas ».

La Naissance du Prophète `Îçâ Jésus `alayhi s-salâm

La mère de notre Maître `Îçâ est la Dame Maryam `alayha s-salâm. Elle est la meilleure parmi les femmes de l’humanité. Elle est celle que Allāh ta`âlâ a décrite dans le Qour’ân honoré par aṣ-ṣiddîqah, la sainte hautement véridique. Elle a grandi en étant pure et étant chaste. Elle a été élevée dans la piété, elle s’acquittait des devoirs et multipliait les actes de bien surérogatoires. Les anges lui ont annoncé la bonne nouvelle qu’elle a été élue par Allāh ta`âlâ parmi toutes les femmes, par le fait qu’elle soit pure de toute souillure et de toute vilenie.

La Naissance du Prophète Mouḥammad Mawlid Nabawiyy

Al-Bayhaqiyy a rapporté d’après Ibnou `Abbās qu’il a dit: le prophète est né l’année de l’éléphant. Quant au mois de sa naissance c’est rabī`ou l-’awwal (3ème mois lunaire), et ce qui est retenu par les savants qu’il est né la douzième nuit de ce mois. Quant au jour de sa naissance il s’agit du lundi sans divergence, ainsi Mouslim a rapporté d’après Aboū Qatādah al-’anṣāriyy que Allāh l’agrée qu’il a dit: le prophète a été interrogé sur le jeûne du lundi il a dit: « ذاك يوم ولدت فيه، وأُنزل عليّ فيه », ce qui signifie: « en ce jour je suis né et en ce jour j’ai reçu la révélation ».

Abou Bakr As-Siddiq, le premier des califes bien guidés

Abou Bakr As-Siddiq, le premier des califes bien guidés. Lorsque l’Islam est venu, il fut le premier des hommes à entrer en Islam, il avait alors trente-sept ans. Il était lui-même un compagnon du Prophète Mouḥammad.

Explication du ḥadīth au sujet de celui qui soulage un croyant d’un tourment.

Mouslim a rapporté, d’après Abou Hourayrah qu’il a dit: le Messager de Allāh a dit ce qui signifie: "celui qui soulage un croyant d’un des tourments du bas monde, Allāh le soulage d’un des tourments du Jour du Jugement, celui qui facilite pour quelqu’un qui est dans la difficulté, Allāh lui facilite dans le bas monde et dans l’au-delà, celui qui ne dévoile pas un musulman, Allāh ne le dévoile pas dans le bas monde et dans l’au-delà, Allāh aide l’esclave tant que l’esclave aide son frère, et celui qui suit un chemin par lequel il recherche d’acquérir une science, Allāh lui facilite grâce à ce chemin un chemin pour le Paradis, et toutes les fois que des gens se réunissent dans une des mosquées pour réciter le Livre de Allāh et pour l’étudier entre eux, alors la sérénité descend sur eux, la miséricorde les enveloppe, et les anges les entourent et Allāh fait qu’ils soient mentionnés par les anges des plus hauts degrés, et celui qui n’œuvre pas suffisamment, son ascendance ne va pas lui compenser son manquement."