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Interprétation du Qour'ān Exégèse soūrat Yāçīn 'āyah 41 à 47

Et parmi les signes, les bienfaits de Allāh, les signes qui montrent Sa Toute-Puissance et Ses bienfaits, c'est que Allāh a fait qu'il y ait dans le bateau de Noūḥ, les ancêtres des gens, car tous les humains descendent des fils de Noūḥ qui étaient dans le bateau, Sām, Ḥām et Yāfith. C'est un bienfait de Dieu, le fait que Allāh a sauvé leurs ascendants c'est-à-dire tous les humains descendent des trois fils de Noūḥ.

Quelle est la part de la science de la religion qu'il est une obligation personnelle d'apprendre ?

Apprendre l'Islam: Il est un devoir pour toute personne responsable d'apprendre une part de la science de la religion dont on ne peut se passer : la croyance, la purification, la prière, la zakāt pour celui pour qui elle est obligatoire, le pèlerinage pour celui qui en est capable et les péchés du cœur, de la main, des yeux et autres.

Pour quelle raison Allāh a-t-Il envoyé les messagers ?

Allāh a envoyé les messagers pour qu'ils enseignent aux gens ce qui leur est utile pour leur religion et pour leur bas monde et pour appeler les gens à adorer Allāh sans rien Lui associer.

Péchés du Coeur: l'Avarice en ce que Allāh à ordonner de payer

Parmi les péchés du cœur, il y a la lésine sur ce que Allāh ta`ālā a ordonné de payer comme par exemple lésiner sur le paiement de la zakāt, la charge de l’épouse et des enfants, la charge des parents qui sont dans le besoin ou l’aide envers le proche parent qui est dans le besoin. Il y a aussi l’avarice qui est l’excès de lésine.

Partage de l'héritage

Il n'est pas valable de partager un héritage laissé par un défunt avant que ne soient réglés tous les droits qui pèsent sur ce défunt : les dettes qu'il avait, que ce soient des dettes à l'égard des gens ou à l'égard de Allāh comme la zakât qui est obligatoire sur un bien, avant que ne soient exécutés ses legs, c'est-à-dire ce qu'il a recommandé de donner après sa mort et que ne soient mis de côté le prix d'un pèlerinage et d'une `oumrah qui sont à sa charge comme lorsque quelqu’un est mort alors qu'il devait encore les accomplir