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Péchés du corps: Tuer le gibier avec ce qui tue par son poids

Parmi les péchés du corps, il y a tuer le gibier avec ce qui tue par son poids et fait sortir l’âme rapidement comme une pierre. Cela compte parmi les péchés du corps car d'autres organes que la main y participent. Ce qui tue sous l’effet de son poids, al-mouthaqqal, c’est par exemple un rocher.

Interdiction de la magie et de la sorcellerie en Islam

Parmi les péchés du corps, il y a la magie qui est de différentes sortes. Il y a des actes de magie qui nécessitent de faire un acte de mécréance et d’autres de faire une mécréance par la parole. Dans le premier cas, il y a par exemple se prosterner pour le soleil ou se prosterner pour Iblîs. Il y a aussi ce qui nécessite de glorifier le chayṭān d’une autre façon comme égorger pour lui c'est-à-dire pour avoir l’agrément du chayṭān et ceci est de la mécréance. Ce qui nécessite de faire de la mécréance et qui ne se produit qu’avec la mécréance est donc de la mécréance.

Interdiction de Frauder dans la vente ou Trahir

Parmi les ventes interdites, il y a frauder dans la vente ou trahir aussi bien dans la mesure du volume, du poids, de la longueur ou du nombre ou encore mentir en parlant d’une de ces choses-là. Allāh ta`ālā dit ce qui signifie: « Al-Wayl - le grand châtiment - pour les Mouṭaffifîn, ceux qui, lorsqu'ils achètent aux gens, prennent tout leur droit, et lorsqu'ils mesurent ou pèsent pour les gens, diminuent. Ces gens là ne savent-ils pas qu'ils seront ressuscités pour un jour éminent, un jour où les gens viendront au jugement du Seigneur des mondes ».

Ce qui devient interdit à celui qui est en état de grand ḥadath selon l’école de jurisprudence Malikite

Selon l’école de jurisprudence malikite, il devient interdit à la personne qui est en état de grand ḥadath suite à un rapport sexuel ou une émission de maniyy (jounoub) six choses, parmi elles: la prière, la prosternation de la lecture du qour'ān, le tawaf, par l’unanimité. Il lui également interdit de toucher le Mousḥaf, même avec un bâton, et même s’il s’agit d’un enseignant ou d’un apprenant ainsi que le port du Mous-ḥaf selon l’explication détaillée citée plus haut, l’entrée dans la mosquée même si ce n’est pas pour y rester, exception faite pour le voyageur passant, qui se retrouve en état de grand ḥadath et qui ne peut accéder à l’eau qu’en entrant dans la mosquée, il est permis à celui-ci d’y entrer. De même lui est interdite la retraite spirituelle dans la mosquée et la récitation du Qour'ān par la langue.